Le Comité Richelieu réunissait, ce mercredi 16 décembre 2020, son Assemblée Générale qui a procédé au renouvellement complet des membres du Conseil d’Administration pour une période de 3 ans.
Ce conseil d’administration s’est ensuite réuni pour procéder à l’élection des membres du bureau. Jean-Pierre Gérault est reconduit dans sa fonction de Président ainsi que les autres membres du bureau dans leurs fonctions respectives.
Les membres du Conseil d’Administration ont ensuite échangé sur l’année 2020 marquée par la poursuite de l’action du Comité Richelieu d’un point de vue business et influence en lien avec de nombreux partenaires de l’écosystème d’innovation mais également par une transformation et une modernisation de ses outils de gestion et de son image.
En conclusion, le Président a salué la résilience remarquable qu’a su assurer le Comité depuis le début de la crise. Enfin, les membres ont tout particulièrement convergé sur la mise en place d’un projet audacieux « RSE et innovation » qui, en 2021, rassemblera sous l’égide du Comité de nombreux grands groupes et de multiples PME.
Observatoire de l’innovation 2020
Appel au soutien à l’innovation dans les PME
Trophées PME de RMC – Candidatez !
Face au contexte inédit que la France traverse actuellement, vous faites preuve d’adaptation, de détermination, d’entraide et d’innovation pour poursuivre votre activité. Depuis 10 ans, le concours des Trophées PME RMC est fier de soutenir et de récompenser le travail des petites et moyennes entreprises qui contribuent au dynamisme de notre économie.
Audace, volonté et enthousiasme sont l’essence même du concours.
La France regorge de talents et les Trophées PME RMC sont là pour les partager.
Déposez votre candidature avant le 12 octobre parmi les 5 prix du concours :
PME « Artisanale » ; PME « Créative » ; PME « Fabriqué en France » ; PME « Jeune pousse » ; PME « Responsable et durable ».
Pour la 11e édition, le jury remettra également un prix spécifique parmi toutes les candidatures reçues : le prix de la PME Solidaire, qui récompensera la plus belle initiative.
Prenez part à l’aventure des Trophées PME RMC !
Tentez votre chance pour remporter un trophée ainsi qu’une campagne publicitaire de
100 000 € brut sur RMC.
Nous sommes impatients de découvrir vos candidatures !
Ensemble, Bougeons-Nous !
L’équipe des Trophées PME RMC
En savoir plus sur le concours
Sondage sur les relations entre PME et scientifiques de la recherche publique
Le Comité Richelieu travaille avec la Direction des Relations avec les Entreprises du CNRS* pour réaliser deux enquêtes, la première auprès des laboratoires de recherche publique, la seconde auprès des PME.
Notre objectif, avec cette enquête que nous réalisons auprès de vous, dirigeants de PME, est d’identifier les freins et mettre en avant les avantages de partenariats avec les laboratoires de recherche publique.
A l’issue de ces deux enquêtes, nous verrons ensemble comment agir, communiquer et échanger sur de bonnes pratiques.
Nous vous encourageons, le cas échéant, à échanger avec vos collègues (chercheurs, ingénieurs, techniciens) qui ont interagi avec des laboratoires du CNRS et de ses partenaires ces 6 dernières années.
Ce SONDAGE (lien) prend moins de 5 minutes. Nous attendons vos réponses pour le 14 juillet prochain.
* Chaque année, ce sont plus de 600 PME qui s’appuient sur les laboratoires du CNRS et de ses partenaires pour innover, investiguer, caractériser des échantillons ou encore se former, le mode d’interaction le plus utilisé étant de loin, la collaboration de recherche. A l’heure où nous avons tous besoin d’innover, il arrive qu’une expertise vienne à manquer. Cette expertise est certainement disponible dans un des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires, rassemblant plus de 100 000 agents. L’interaction entre PME et laboratoires de recherche publique est donc très large, mais les facilités d’accès à ces expertises ne sont peut-être pas assez développées.
Merci de votre contribution.
Candidatez à l’édition 2020 de Digital Inpulse dédiée aux applications pour smartphones
Enquête expresse – Défense, financement et souveraineté
Dans le contexte actuel de crise et d’enjeux de relance, d’une part, mais aussi de réflexions sur le financement des start-ups et des enjeux de souveraineté, d’autre part, le Comité Richelieu souhaite recueillir les retours d’expériences et les attentes des start-ups, PME et ETI de défense qui travaillent avec le secteur défense. L’objectif est de remonter ces éléments auprès des pouvoirs publics.
Merci de consacrer 5 minutes pour répondre à ce
en partenariat avec
Relations clients/fournisseurs – Enquête expresse – Crise COVID 19 – Le Comité Richelieu est à votre écoute
Open Innovation Factory de GRTgaz édition 2020 c’est parti !
Participez aux appels à projet de l’Open Innovation Factory de GRTgaz en proposant des solutions innovantes dans les domaines liés aux nouvelles technologies et au développement de nouveaux business.
Trouvez des réponses opérationnelles innovantes à des problématiques techniques ou transverses rencontrées par les métiers GRTgaz et facilitez leur mise en œuvre au sein de l’entreprise. TPE, PME, start-up, ETI, laboratoires, écoles… Toutes vos idées sont bienvenues ! Un partenariat gagnant-gagnant et un seul mantra : « Développons-nous ensemble ! »
|
![]()
|
|
![]() |
![]()
|
|
![]()
|
![]() |
|
|
![]()
|
Pour en savoir plus cliquez ici.
Attention aux dates limites de candidature.
Prêt garanti par l’Etat (PGE) : les entreprises innovantes réclament plus de clarté, d’engagement et de visibilité
Communiqué de presse
Prêt garanti par l’Etat (PGE) : les entreprises innovantes réclament plus de clarté, d’engagement et de visibilité
Dans le cadre de la crise du COVID 19, le Comité Richelieu a interrogé ses membres (start-up, PME et ETI innovantes)[1] sur le prêt garanti par l’Etat et sa mise en œuvre concrète. Ce dispositif est, à juste titre, accueilli favorablement et salué au regard de son caractère inédit et de la rapidité avec laquelle il a été annoncé par l’Etat et la Fédération bancaire française (FBF) puis déployé par les banques.
Il doit toutefois faire l’objet d’aménagements pour être mieux compris et pour donner davantage de visibilité aux entreprises qui s’attendent à une crise économique durable.
La très grande majorité des entreprises (79%) a engagé une action de mobilisation du PGE ou envisage de le faire. Une majorité (63%) d’entre elles constate néanmoins un décalage entre l’annonce du dispositif et sa concrétisation sur le terrain.
Les entreprises constatent une appropriation hétérogène du dispositif selon les régions et selon leurs interlocuteurs bancaires habituels. Si le temps nécessaire d’adaptation et de diffusion des consignes à l’ensemble de leurs conseillers dans les territoires peut se comprendre, cette hétérogénéité doit vite cesser, au risque, à défaut, de créer des inégalités et de l’incompréhension de la part des entreprises et de contribuer in fine à discréditer le dispositif dans son ensemble.
Le Comité Richelieu demande à l’Etat d’éviter les effets d’annonce et d’être plus précis sur les critères d’éligibilité et de mise en œuvre.
Il demande aux banques de veiller à une application homogène du dispositif au sein de leurs réseaux respectifs et de continuer à tout mettre en œuvre pour apporter des réponses rapides aux EIC (Entreprises d’Innovation et de Croissance).
Il demande enfin à la Médiation du crédit d’être particulièrement vigilante pour corriger les dérives et répondre aux sollicitations légitimes des entreprises.
Par ailleurs, un tiers des entreprises pense ne pas être éligible au PGE. Sur ce point un effort de pédagogie est indispensable pour rappeler que si le dispositif exclut toute une série d’acteurs du bénéfice du PGE (SCI, sociétés en difficulté selon les critères européens…), il soutient tout particulièrement les demandeurs remplissant certaines conditions (ex : entreprise notée 5+ a minima / cf. CP du ministère de l’Economie et de la FFB du 1er avril) mais n’exclut pas mécaniquement les autres.
A ce titre, le Comité Richelieu souhaite que des critères d’éligibilité spécifiques soient appliqués aux entreprises innovantes (celles-ci étant par ailleurs bien définies dans le dispositif pour le calcul des plafonds). Ces critères ont vocation à tenir compte des spécificités de leur structure financière et à atténuer l’impact de la définition européenne des entreprises en difficulté qui exclut à ce jour du dispositif PGE, nombre d’entreprises pourtant parfaitement rentables et solvables, qu’il s’agisse ou non de sociétés récemment créées, (start-ups, PME et ETI).
Le Comité est par ailleurs disposé à être un relais de pédagogie en lien avec les services de l’Etat, le secteur bancaire et la Médiation du crédit.
Enfin, les entreprises ne connaissent pas les taux d’intérêt qui leur seront proposés par leurs banques dans 10 à 12 mois[2] et l’immense majorité (80%) considère que cela constitue une source d’inquiétude et d’anxiété.
Puisque le PGE est un produit sur lesquels les banques se sont engagées à ne pas se faire de concurrence, le Comité Richelieu demande, à ce que l’Etat précise et encadre les modalités de calcul des taux d’intérêt qui seront proposés aux entreprises à l’issue des 12 premiers mois. Ce peut être par référence à un taux de marché, doublé d’une marge d’écart par rapport à ce taux (corridor sécurisé).
S’agissant de ce dernier point, il est indispensable qu’il soit considéré dans le cadre du plan de relance.
[1] En PJ l’enquête expresse réalisée du 8 au 13 avril 2020 auprès d’un panel représentatif des membres du Comité Richelieu
[2] Pour celles qui choisiront d’amortir ce prêt sur 3, 4 ou 5 ans à l’issue de la première année de prêt à taux 0